Chère Fanfan,voici une des chansons que je chantais, le soir, à mes enfants à fin qu'ils
Sourds et Muets.Puisque vous restez sourds ( peut-être pas vraiment) mais en tout cas Muets
Les grands yeux bleus du ciel.
composition, chant et guitare:Jean-Marie Djibedjian.Texte: Alain GirardVoir le Fichier : <strong>LES_GRANDS_YEUX_BLEUS_DU_CIEL.MP3</strong>La douce et tendre vie passe des jours entiers A regarder au loin le lointain qu’on attend Comme à croire au soleil tant il est important Et ces ombres, sur nous, qu’il dessine à moitié ! Depuis le petit jour à la nuit revenue La lumière s’amuse en des clartés trompeuses Dont l’horloge du vent olfactive et pulpeuse Oriente les pensées frivoles vers les nues ! Quand, des cieux, s’évapore un nuage léger Les grands yeux bleus du ciel s’éveillent sur le monde Ainsi la douce vie comme tendre ou immonde Se pose sur chacun quelque part passager ! Il parvient de là-bas le brouhaha étrange Où l’homme suit la vie simplement, sans façon , C’est un cri, la rumeur, l’écho d’une chansonL'amour Agapë.
Si les hommes pensaient l'amourParmi leurs chemins singuliersEntre les pleins et les déliésDont bien des plumes le crièrent,Il serait autour de la TerreLe bonheur et plus de mystère ;Il serait, pour l'âme défaiteUn rêve, une aube et puis sa fêteEt l'on verrait chaque matinDes Enfants naissant pour toujoursUn grand soleil et puis son âmeOfferte à l'Homme et à la FemmeEt l'on entendrait chaque soirAux buissons de tous les espoirsNon plus le fusil ni l'épéeMais juste l'amour agapë !Alain GirardLe 15 Août 2015Copyright. Tous Droits Réservés
Liberté Égalité Fraternité
à Al-Quaïda
à Oussama ben Laden
Après ce que je viens de poster,je ferme mon blog...m'écrive qui veuille et me parle qui le souhaite...si j'ai voulu exprimerLa Poésieet de belles chansonsMais le mais du mais
Le Repos du regard.
Dans la fraîcheur du soir aux rousseurs automnalesLa journée s'en alla fugitivement belle ;C'est à la fois le temps qui s'effrite banalEt les bleus retenus d'un ciel en ritournelle !Sous les pas de la vie craque le bois meurtri ;La terre colle aux pieds de l'humide parcoursQue l'on fait en songeant à de bien lointains crisÉtouffés, tout en nous, parmi bien des amours !Les oiseaux se sont tus et dans le bois doréSe faufilent pourtant l'écureuil et son ombre !Je regarde les cieux et, comme à leur orée,La lumière éblouit les choses les plus sombres !S'il existe – ici-bas – le Repos du regardLorsque l'on a vieilli sans en savoir le lieu,On s'éprend d'un chemin qui – partout – nous égareEspérant y croiser juste celui de Dieu !Puis au profond de soi lorsque se tait l'histoireAu bout de ce sentier que l'on prit sans connaîtreEt le mot et le chant de sa propre écritoireEt que – jamais – l'on sut ouvrir grand sa fenêtre...A force d'y penser, à force d'être seulEntre l'incognito des verves que l'on aimeOn songe – doucement – à son propre linceulEt l'on dessine en croix cela par un poème !Alain GirardLe 31 10 2015Copyright. Tous Droits Réservés .Dépôt SACEM
sur un Texte Magnifique de LamartineGeorges Brassens
Rue des Vauriensdédié à Mon Fils Matthieucomposition, texte, chant, guitare et interprétation:Alain Girard
à Mon fils!ce qu'il me dit!seulement c'est moi qui le chante!guitare et chant : Alain Girard